La psychologie positive

La psychologie positive 
En 1998, le développement personnel est passé de la périphérie de la psychologie à une position centrale, quand Martin Seligman a été élu Président de l’Association Américaine de Psychologie et a proposé un nouvel angle de vue, la psychologie positive, portant sur les individus sains plutôt que sur une pathologie24 :
« Nous avons découvert qu’il existe un ensemble de forces humaines qui constituent les meilleures défenses contre la maladie mentale : le courage, l’optimisme, les compétences relationnelles, l’éthique du travail, l’espoir, l’honnêteté et la persévérance. Pour prévenir les maladies mentales nous allons créer une science de ces forces humaines dont la mission sera de promouvoir ces vertus auprès de la jeunesse. »
Pour revenir à la recherche en psychologie sur le développement personnel, Albert Bandura (né en 1925) a entrepris des recherches pour comprendre comment certains, plus que d’autres, parvenaient à atteindre leurs objectifs25. Il a montré que la confiance dans sa propre réussite est un des facteurs qui explique le mieux pourquoi des individus ayant le même niveau de connaissances et de compétences ont des résultats si différents. Selon Bandura, la confiance en soi est donc un indice puissant du succès car :

elle permet d’accepter le succès quand il arrive ;
elle facilite la prise de risques au travers d’objectifs élevés ;
elle engage à continuer d’essayer si on n’atteint pas l’objectif du premier coup ;
elle aide à contrôler ses émotions et ses peurs quand le chemin du succès est difficile.
Le psychiatre Jean Cottraux, dans La force avec soi. pour une psychologie positive (2007), avance "une méthode de changement personnel" qui part "à la recherche de ses forces de caractère".

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